| Quelques mots
de la presse

"Marc Vitantonio et
Marie-Thérèse Grisenti ont joué d’une complémentarité harmonieuse qui a
trouvé
son firmament dans les volutes passionnées de la sonate en la
majeur de César Franck."
La République du Centre
"L’extraordinaire
complicité du duo Grisenti-Vitantonio donna à ces pièces force et
cohésion."
La Montagne
"Lorsqu'ils jouent,
Marie-Thérèse Grisenti et Marc Vitantonio ne forment qu'un, tout dans
leur jeu
n'est qu'harmonie
musicale. Ces artistes ont leur propre vision de l'art et éprouvent le
besoin
permanent de découvrir de
nouveaux horizons musicaux. Ils sont habités par l'amour de la musique,
et c'est par amour de la musique
qu'ils jouent modestement le rôle de passeurs."
Revue de la Société Historique et Littéraire Polonaise de Paris.
"Nous retenons une intense
deuxième sonate de Brahms par le duo Grisenti-Vitantonio."
Revue de
l'Association Française du Violoncelle.
"... en guise
d'introduction, la très belle sonate de Kodaly dont Starker était un
fervent défenseur. Le duo Grisenti-Vitantonio nous en a donné une
version poignante."
Revue de l' AFV.
(article suite au festival
Cello-Fan, hommage à Janos Starker.)
A
propos du concert narratif "Sur les pas de Lise"

"... Du Largo de la Sonate pour violoncelle de
Chopin à la Valse sentimentale de Tchaïkovski, d’un Nocturne de Piatti à l’Elégie
de Massenet, de la Sérénade de Rimski-Korsakov au Gute Nacht du Winterreise de
Schubert ou, évidemment, à la Romance op. 109 de Mendelssohn, en passant par
bien d’autres morceaux, le jeu à fois ferme, chaleureux et narratif de
Marie-Thérèse Grisenti fait merveille. Porté par le piano complice de Marc
Vitantonio, il répond avec autant de simplicité que de cœur aux mots de Lise
Cristiani dits par J. P. Raymond, toujours à
l’unisson d’un spectacle intensément vécu."
Alain Cochard |
ConcertClassic.com
"... C'est aussi, si l'on en croit l'histoire, une
magnifique violoncelliste que l'on se prend à regretter de ne pas
avoir entendue
" en vrai ", jusqu'à ce que l'archet de Marie-Thérèse Grisenti se pose sur les
cordes de son violoncelle. Grâce à cette magnifique voix qui s'élève de
l'instrument, amoureusement accompagnée par le piano de Marc Vitantonio, la
musique fait renaître la jeune fille, donne corps à son histoire, et aux mots
qu'elle a couchés sur le papier et qui relatent son incroyable périple. Car en
même temps qu'un voyage musical, remarquablement
agencé dans le répertoire joué à cette époque,
entre musique de salon et pièces de caractère, le spectacle est aussi le récit d'un voyage dans cette Russie de la fin du 19ème siècle, la
rencontre émerveillée, souvent à travers la musique, de peuples, de modes de
vie, de paysages que Lise Cristiani, dans les quelques lettres que l'on a
retrouvées, décrit avec une précision et souvent un humour qui nous les rendent
présents.
Marie-Thérèse a redonné vie à Lise
Cristiani.
Les mots du spectacle sont toujours
justes, en équilibre avec la musique et les images. Il ne restait que
peu de traces de cette artiste qui, à 19 ans, a pris la route et a
poussé jusqu'aux confins du Kamtchatka: quelques dessins, des
caricatures... Le graphiste Artur Majka, dont l'interprétation par la
couleur ne fait que rajouter
quelques notes discrètes à la très belle
partition qu'est ce spectacle, a sublimé ces images.
" Vie errante est chose enivrante " , nous
dit un petit préambule au spectacle : entre aventure trépidante et
rêverie souriante, ce magnifique spectacle passe trop vite, comme la vie
de Lise..."
Dominique Boutel
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France Musique |